Varian Wrynn

Varian Wrynn : l’art délicat de la modération.

Peu avant la sortie de Wrath of the Lich King, au moment de l’arrivée des hauts faits, les joueurs de la Horde ont découvert un nouveau world boss, nommé Varian Wrynn et cis à Stormwind.
Un gus sortit de nulle part et coiffé comme un dessous de bras qui se faisait en plus appeler roi et qui n’avait pas l’air d’être là pour rigoler. Et pour cause…

L’histoire de Varian Wrynn se sont beaucoup de tragédies, pas mal de bourrinage et toujours, toujours, un moral de vainqueur.

Le petit Varian n’était autre que le fils du roi de Stormwind, Llane Wrynn, qui pendant la Première Guerre se fit assassiner traitreusement par la demi-orc Garona, pour le compte du Conseil des Ombres (noire assemblée de sombres démonistes orcs pilotés par les ténébreux démons de la Légion Ardente. Trop dark…).

Varian, enfant, dut, dans le même temps composer avec la destruction de sa cité-état et se résoudre à l’exil en Lordaeron, guidé par la prêtresse Mara Fordragon, pour se mettre sous la protection du roi Terenas Menethil. A cette occasion, il se lia d’amitié avec le fils de celui-ci, Arthas, les deux garçons ayant environ le même âge.
Il est possible que se soit à cette époque qu’il se lie également avec Bolvar Fordragon, mais l’histoire ne le dit pas.

Après la dernière guerre, au temps de la paix revenue, Varian rassembla les siens et décida de reconstruire sa ville et son royaume.
Il choisit comme maître d’œuvre de cet immense chantier un dénommé Van Cleef, qui dirigea la guilde des maçons pendant toute la durée des travaux.
Stormwind fut ainsi restaurée, et le roi se pencha alors sur les caisses de son royaume, qu’il avait fort vides, histoire de payer le travail de Van Cleef.

Constatant qu’un canaillou avait ratissé jusqu’au dernier denier, Varian se trouva devant un dilemme. Soit il se mettait à côté de la banque pour spammer « ta pa 1po plz », soit il battait le rappel des fonds auprès du conseil des nobles.
Etant roi, avec un prestige à conserver, il choisit la seconde option.

Le conseil en question, principalement composé de personnes vivant à la campagne, dans de grands domaines fonciers, jugea que raquer pour une ville où l’on ne va qu’une fois l’an, c’était juste abusé.
Varian dut alors annoncer à Van Cleef que, bien qu’il en soit fort marri, tout çà tout çà, il valait mieux oublier la question du salaire.

Les maçons, furieux, décidèrent de faire grève, ce qui n’engage à rien lorsque l’on a fini les travaux me direz-vous, jusqu’à ce que vous pensiez au caractère contondant des instruments de travail de ce corps de métier.
Manifestant à coup de parpaings, les maçons de Van Cleef mirent Stormwind à feu et à sang, leur révolte prenant une telle ampleur que la reine Tiffin elle-même se prit un moellon perdu en pleine tête, moellon qui lui fut fatal, du reste.

La tuile…

Le tragique accident décida Varian à mettre de l’ordre dans ce charivari, convoquant l’armée pour réprimer l’insurrection dans le sang.
Les principaux agitateurs furent arrêtés et enfermés dans la prison de Stormwind, mais Van Cleef, les plans tatoués sur le dos, s’échappa et fonda avec les maçons renégats l’ayant suivi, l’ordre des Défias, qu’il dirige depuis son quartier général des Mortes-Mines.

Les défias furent dès lors une menace sourde et permanente pour le royaume de Stormwind, un ennemi que les humains affrontent dès leur stage de formation dans la vallée de Northshire, approximativement entre le niveau 1 et 6.

Environ un an avant le début de World of Warcraft, le roi Varian fut convoqué avec les autres chefs de l’Alliance à une réunion secrète à Theramore, présidée par Jaina Proudmoore, ayant pour objet la position de la faction vis-à-vis de la Nouvelle Horde.
Alors que le navire royal mouillait devant le port, des individus masqués envahirent le pont et kidnappèrent le roi dans son sommeil.

Varian se réveilla dans une prison, solidement gardée par les Défias de Van Cleef.

Dès lors, Stormwind n’avait plus de roi, et la couronne échut par élimination et nécessité sur la tête du fils de Varian, Anduin, âgé de dix ans.
Le conseil des nobles saisit l’occasion de s’approprier davantage de pouvoir en légitimant la succession et en déléguant la volontaire dame Katrana Prestor auprès du jeune roi.
Fille du célèbre mais mystérieusement disparu seigneur Daval Prestor, Katrana avait, par sa fortune familiale, son intelligence et un caractère à faire pâlir Sylvanas, acquis un grans poids politique dans le royaume, dont elle assurait pendant la régence, la gestion.
Garant de la dynastie des Wrynn par tradition familiale, et conseiller aux affaires concernant l’Alliance, le généralissime Bolvar Fordragon, vieil et cher ami de Varian, assura avec elle l’éducation d’Anduin, tout en essayant, pendant ses RTT, de faire tenir l’Alliance à peu près debout.

Il ne fut plus dès lors question du roi Varian et tous les Humains de l’Alliance débutant tiennent pour acquis de se faire diriger par un moufflet.

Jusqu’au moment où tous les personnages de bas niveau finissent par se faire convoquer au palais où Bolvar leur confie une petite enquête : « trois fois rien, vous bilez surtout pas, mais je voudrais pas que çà reste trainer sur mon bureau ».
S’ouvre alors une longue suite de quête, intitulée « Un diplomate a disparu », vous entrainant aux quatre coins de Stormwind, avec en prime un combat épique dans une fromagerie, et aboutissant à un voyage à Theramore.
Votre diplomate, enlevé alors qu’il se rendait auprès de dame Jaina, semble rapidement intéresser des personnes peu recommandables et si vous n’êtes pas trop manche, vous réalisez vite que l’homme que tout le monde recherche n’est autre que le roi lui-même.

La piste s’achève par la capture d’un témoin clé dans le Marécage d’Aprefange, terminant ainsi la quête par une entrevue avec Jaina, vous assurant qu’elle va interroger poliment mais fermement le monsieur et que vous pourrez revenir lorsque se sera terminé.

Mais la suite n’est jamais apparue et le mystère est resté en suspend.

Ainsi, tout le monde sembla oublier Varian Wrynn.

Pendant ce temps, le roi croupissait toujours dans sa geôle, laquelle, et c’est là le plus drôle, se trouve à quelques encablures de Theramore, sur l’île d’Alcaz (le PNJ « Varian Roi de Stormwind » y a longtemps été visible et n’a disparu que peu avant Burning Crusade, pour une raison bien précise, vous allez voir).

Un beau matin, le Chuck Norris qui sommeillait en lui se réveilla brutalement et Varian savata les Défias, sortit de la forteresse, et réalisa qu’il se trouvait au beau milieu de la mer.
Considérant que les bateaux, c’est pour les noobs, Varian, se jeta à l’eau et entama peinard la traversée à la brasse vers la côte.
Sauf que Chuck Norris peut être, mais Alain Bernard sûrement pas. Varian s’épuisa et entrainé par les courants, perdit connaissance avant de rejoindre le bord.

Voici donc pourquoi, même si Jaina avait effectivement obtenu les renseignements voulus sur le roi, n’y a-t-il jamais eu de suite : plus personne n’était détenu sur Alcaz et ses agents firent sans doute chou blanc en s’y rendant.

Où est donc passé Varian Wrynn ? A quand un concours de crawl avec Zul’jin ? Qui a peur du grand méchant loup ? Vous le saurez en lisant « Varian Wrynn : c’est qui le lion maintenant ? »

Ils s’en allaient gaiement par delà les plaines poussiéreuses de Durotar lorsque les membres d’une caravane de marchands tombèrent par hasard sur une scène des plus comiques, du moins du point de vue d’un orc.
Seul sur le sable, les yeux dans l’eau, un Humain viandait des crocilisques à la chaine.
Apparemment pas novice en matière de close combat, le type se défendit assez bien pour, un, survivre, deux, taper dans l’œil d’un Orc laniste, Rehgar, qui lui proposa illico d’intégrer son équipe de gladiateurs.
Enfin, proposa…

Comment un malheur n’arrive jamais seul chez les Wrynn, notre cher Varian, car c’était bien lui, complètement tourneboulé par son évasion et les multiples tasses bues en route, était devenu amnésique.

Capturé par les orcs, il fut dans un premier temps trop occuper à mettre de l’ordre dans sa tête pour réaliser qu’il venait de se faire réduire en esclavage.

Immédiatement rebaptisé Lo’Gosh (« Le Loup Fantôme »), il devint donc un combattant farouche et fier, copinant gentiment avec deux autres infortunés comme lui, le druide elfe de la nuit Broll Mantelours et la voleuse elfe de sang Valeera Sanguinar, passant leur temps à se chamailler sur des motifs aussi futiles que « la magie c’est mal ! », « les druides ont des puces ! », « tu vas voir ce que je vais lui faire, à ton Puits de Soleil ! »

Le temps passant, Lo’Gosh devient une star à la Maximus, tout le monde l’aime, mais lui n’aime personne.

Par flashs, la mémoire lui revient peu à peu et c’est avec l’aide de Broll et Valeera qu’il parvient, au terme de pérégrinations incertaines, jusqu’à Theramore où Jaina en appelle à l’aide d’Aegwynn elle-même (la mère de Medivh) pour restaurer en lui son passé.
Une fois redevenu Varian, le roi décida de reprendre sa place mais Jaina lui conseilla la prudence. Et de fait, les premières tentatives d’assassinat ne se font pas attendre.
Si les exécutants sont des Défias, Varian découvre que le commanditaire est de Stormwind et que, quel qu’il soit, il ne semble pas apprécier l’hypothèse de son retour.

Et rapidement, à sa grande surprise, un type se faisant passer pour lui entre triomphalement dans sa cité et se fait restaurer par dame Prestor et Bolvar Fordragon.
Seul le petit Anduin semble avec quelques doutes, qu’il confie au généralissime.

Ce retour miraculeux est quant à lui expliqué au peuple par le paiement d’une rançon justifiant la levée d’un nouvel impôt. Tout le talent de Katrana Prestor consistant à faire avaler la pilule.

De fil en aiguille, Varian/Lo’Gosh parvient à retrouver de vieilles connaissances à Ironforge, où le roi Magni Bronzebeard et le maréchal Windsor entretenaient de sérieuses réserves quand à l’authenticité du roi nouvellement revenu de Stormwind.

Pourtant, Magni et Windsor sont formels. Ce roi ressemble à Varian comme un frère. Cependant, le malaise est palpable en sa présence.
Varian/Lo’gosh prend hardiment les choses en main et avec l’aide de Windsor, part à la recherche de réponses à toutes ces questions.

L’enquête aboutit à découvrir que derrière cette farce se tenait le Vol Noir, les dragons de Death Wing et plus précisément sa fille, Onyxia, qui n’est autre que dame Prestor.

La sombre magie des dragons était à l’origine de l’enlèvement de Varian. Ayant circonvenus les Défias, le Vol Noir avait monté de toute pièce la machination et profité de sa faiblesse pour scinder son esprit en deux.
Voilà comme le roi fantoche ramené par dame Prestor pouvait ressembler autant à Varian.
Les deux êtres n’étant qu’une seule et même entité, il faut désormais songer à recoller les morceaux.
Là, je confesse mon inculture crasse en matière de magie draconique, car je ne peux pas vous expliquer comment une telle chose, et à fortiori, sa réparation, est possible.

Quoi qu’il en soit, Lo’gosh en apprenant la vérité voit rouge et c’est BERSEEEEEEEEEEEERRRRKKKKKKKKKKK, qu’il se solote un raid sur Stormwind pour bouter dame Prestor hors de la salle du trône.

La machination ainsi dévoilée, Varian le vrai se précipite dans le repère de la dragonne et la découpe en tranches.
Puis il peut enfin regagner Stormwind en tant que son roi légitime et reprendre sa couronne.

Là encore, je confesse n’avoir guère saisi le tour de passe-passe permettant d’éliminer le problème de son double.
Prenons l’hypothèse que quelqu’un avec un gros tube de colle pour rassembler les deux moitiés du roi et que depuis, miraculeusement, çà tient… (fumeux, marchi fumeux).

En tant que roi de Stormwind, il faut bien le dire, Varian donne des sueurs froides. Avant son retour, la puissance dominante de la faction demeurait, par la fortune et l’ampleur, les nains d’Ironforge. Mais leurs préoccupations situées largement sous l’écorce terrestre ne contribuèrent pas à leur permettre de conserver ce rang privilégié.
Le royaume pacifique de Dun Morogh sombre donc lentement dans l’inaction et le manque d’ambition caractérisé, ce qui dans l’optique de préserver les races de l’Alliance dans la guerre contre la Horde, la Légion, ou le Fléau, fait singulièrement tâche.
Depuis le retour du roi, c’est de fait Stormwind qui détient le commandement en chef de l’Alliance, incarné dans les personnes de Varian, pour le volontarisme, et de Bolvar, conservant ici la place qu’il occupe depuis le début, à savoir généralissime, mortier de la faction, et bonne à tout faire.

Varian, c’est aussi un sale voleur de gloire, puisque depuis son arrivée, le back ground du jeu considère qu’il est celui qui a défait dame Onyxia. Les Alliés ne peuvent donc plus faire cette série de quêtes si célèbre les amenant à confondre l’usurpatrice au beau milieu de la salle du trône (la fameuse quête de « L’Escorte », où Bolvar arrose des draconides de marteau de Justice).
Tenez-vous le pour dit, maintenant, Varian s’occupe de tout. Et il ne fait pas dans la dentelle.

Premièrement, le roi a retiré de ses expériences passées un caractère emporté et revanchard, un peu violent sur les bords, qui ne fait pas de lui à proprement parler un modèle de diplomatie.
Ensuite, ayant été exploité honteusement par les Orcs lorsqu’il était gladiateur, il entretient une haine viscérale à l’encontre de ce peuple, alimentée par le souvenir de la mort de son père et de la destruction de sa chère cité.
Une haine confinant au racisme, et rappelant, malheureusement, les excès de l’humanité à l’encontre des Orcs entre la seconde et la troisième guerre (souvenez-vous du camp d’internement du GT1).

Ainsi, lors de l’attaque du Fléau sur Orgrimmar et Stormwind (dernier event pré Wotlk), pendant que Sylvanas et Thrall courraient comme des fous dans la Vallée de l’Honneur pour taper trois coups sur les abominations, Varian lui, devenait tout rouge, gueulait : "Assez ! Je n'en tolèrerai pas plus ! Je vais massacrer tous ces pions si ça n'arrête pas ! Repars en Norfendre avec tes forteresses volantes avant que je ne les pulvérise de mes mains !", ce qui suffisait à faire plier bagage au Fléau dans la seconde (scène vue et approuvée par votre servante).

L’Expédition de la Bravoure en Norfendre est dirigée par Varian lui-même, envoyant Bolvar comme son représentant à la Porte de Courroux, pour le résultat que l’on sait.
Après la trahison d’Angarthar, Varian se découvre une nouvelle raison de faire son intéressant. Enfin, deux nouvelles raisons :
Premièrement, il est clair pour lui que la Horde a trahi le peu de confiance que l’on pouvait encore placer en elle.
Ensuite, on lui a tué son Bolvar, son copain de vingt ans. Et çà, Thrall va le payer. Un par ce que c’est un Orc, deux parce que, et puis c’est tout.

Après avoir défait Putrescin dans les égouts de Lordaeron, Varian tente de régler leur compte à Sylvanas et Thrall, présents pour reprendre Undercity à Varimathras. Ce n’est que grâce à l’intervention de dame Jaina que les chefs de la Horde s’en sortent sains et saufs.
Mais Varian ne s’avoue pas aussi facilement vaincu et déclare officiellement la guerre ouverte contre la Horde.
A partir de maintenant, il faut considérer que les deux factions sont à nouveau entrées dans l’état de conflit connu dans WoW Vanilla, avant que des préoccupations plus sérieuses, type Légion Ardente ou Fléau, ne les détourne des plaisirs simples de la vie (comprenez le farm à la vh).

La Horde, dans la position de l’agressé, ne peut que répondre aux attaques de l’Alliance, et il ne reste guère aujourd’hui pour défendre Azeroth avec un peu de professionnalisme que la Croisade d’Argent et le Kirin Tor.

Merci Varian : « La paix ? Inutile. La paix ne nous a apporté que la perte de nos plus grands héros. Voyons ce que la guerre nous réserve. »…

En bonus track, un petit aperçu des Varian facts, inspirés des Saurfang facts, les premiers apparus sur le web (toute ressemblance avec Chuck n’est pas fortuite) :

« Varian Wrynn n'a peur de rien, y compris de Varian Wrynn. »
« Saurfang cleave pour tuer un Anubisath. Varian fronce un sourcil. »
« Varian Wrynn peut tout. S’il était en colère, il frapperait le sol d'un coup de pied, ce qui fracasserait Azeroth, détruisant toutes les peuplades qui y habitent, repousserait la Légion loin de ce monde, dispersant les énergies magiques, anéantissant la Horde et érigerait une statue de lui géante sur un des restes de la planète. Heureusement, « Varian Wrynn est calme en général. »
« Les Varian Facts sont plus droles que les Saurfangs Facts. »
« Si un raid Hordeux venait a mettre Varian Wrynn a moins de 100% de vie, Varian Wrynn couperait les serveurs, sortirait de l'écran et irait DeathTouch le responsable de ce manque de points de vie. »
«Varian Wrynn n'a pas besoin de s'approcher des portes du Courroux pour les faire s'effrondrer. Il suffit à Varian Wrynn de claquer des dents une fois, et les portes se dissolvent ».
« Ashbringer et Frostmourne ont été crées par Varian Wrynn en fixant 3 secondes une paire de couteaux rouillés. »
« Varian Wrynn a déja frôlé la mort....elle ne s'en est jamais remise. »

PS : l’histoire de ce roi fin et délicat est intégralement disponible en comic, le dernier épisode venant de sortir.
En même temps, j’ai tellement spoiler que vous pouvez vous consoler en disant que je vous ai fait vachement économisé quand même.
Et puis vous n’alliez pas acheter un comic sur l’Alliance quand même ??
Osef Varian.

*Varian Wrynn sort ses deux épées à deux mains*
*Erzhebeth vient de succomber*

Si vous aussi vous êtes fan de Varian Wrynn, c'est à dire s'il vous fait trop peur pour oser dire le contraire, je vous conseille le comic récemment paru en français sous le titre "En terre étrangère". Nul doute que vous y trouverez davantage de détail quant à ce cher Lo'gosh et ses amis, ainsi que sur l'acrobatie scénaristique consistant à le dédoubler pour les besoins d'une histoire déjà assez abracadabrantesque comme cela...

A la semaine prochaine, pour de nouvelles aventures. Cette fois, nous quitterons les héros de la Horde et de l'Alliance pour parler un peu de ces forces qui nous gouvernent...

*Fais un bisou à Erzhebeth mutilée et agonisante dans son propre sang*

Dommage c'était tellement bien... Quelqu'un peut la rez ?

Merci Erz pour cette nouvelle histoire, j'ai déjà hâte d'être à la semaine prochaine.

C'est vrai qu'il n'a vraiment pas l'air commode, légère similitude avec Thrall qui a été esclave / gladiateur chez la faction adverse. Sauf que Thrall il a la classe, c'est un chaman pas un vulgaire war fury.

Ce petit indice laissé à la fin présage quelque chose d'énorme pour la semaine prochaine. Je le sens.

Encore, encore

On a faim, on a faim